Mes coups de coeur du 81e Congrès de l’Acfas – Savoirs sans frontières

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27 avril 2013

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Le 81e Congrès de l’Acfas aura lieu à l’Université Laval de Québec du 6 au 10 mai 2013 et sera sous le thème de Savoirs sans frontières (3 axes : internationalisation, transdisciplinarité et le dialogue science et société). Cette édition est placée sous le patronage de l’UNESCO et en collaboration avec la Commission canadienne de l’UNESCO.

L’Acfas a pour mission de promouvoir le développement de la recherche et de la culture scientifique, en contribuant à la diffusion et à la valorisation des connaissances et des méthodes scientifiques, en vue d’améliorer la qualité de la vie en société. Elle vise également les objectifs spécifiques suivants :

  • Promouvoir et soutenir la relève scientifique;
  • Défendre la pertinence de la recherche et de l’activité scientifique au sein de la société;
  • Soutenir le dialogue science et société.

Voici quelques colloques et présentations “coup de coeur” qui sont en lien avec les travaux du LCA depuis plus de 10 ans, du design communautique de M. Pierre-Léonard Harvey et de mes propres recherches et mandats à titre de consultant ces dernières années:

1 – Colloque 633 – Innovation et recherche en santé : l’approche Living Lab

Responsable(s)
Lucie MÉNARD UQAM – Université du Québec à Montréal, Tiiu VAIKLA-POLDMA Université de Montréal

Description
Le présent colloque réunit des spécialistes de la santé, des technologies numériques et des sciences cognitives autour du concept de Living Lab (« laboratoire vivant »). Un Living Lab peut être défini comme « … a user-centered, open-innovation ecosystem, often operating in a territorial context (e.g. city, agglomeration, region), integrating concurrent research and innovation processes within a public-private-people partnership ». (http://en.wikipedia.org/wiki/Living_lab) L’approche Living Lab représente donc un concept de recherche intégrative et participative centrée sur la co-création et l’expérimentation avec des usagers réels dans des environnements réalistes. Plus qu’un simple outil d’expérimentation, un Living Lab constitue une véritable approche méthodologique donnant lieu à de nouvelles pratiques de recherche et de création. Au cours de cette rencontre, différents spécialistes discuteront du concept de Living Lab, de ses retombées cliniques et des résultats de recherche qui en découlent, spécifiquement dans le domaine de la santé.

Ce colloque est une initiative conjointe des deux Living Labs spécialisés en santé au Québec : le MALL (Laboratoire vivant en réadaptation) du CRIR (Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain) et le Living Lab SAT/CHU Sainte-Justine. Le colloque sera organisé autour de deux thématiques principales : 1) l’inclusion sociale et l’usage des technologies innovantes, pour des personnes de tous âges présentant des déficiences physiques, sensorielles et cognitives, et 2) l’humanisation des soins de santé pour l’enfant. Des experts tant au niveau local qu’international discuteront des réalités quotidiennes observées à travers les laboratoires vivants. Ces chercheurs seront invités à présenter leurs travaux menés dans les laboratoires vivants et à discuter des moyens utilisés par les chercheurs, les usagers et les gestionnaires afin de faire face aux défis soulevés par l’approche Living Lab.

La grande majorité des présentations seront intéressantes, mais je retiendrai celles-ci :

Le Living Lab SAT/CHU Sainte-Justine: le co-design thérapeutique à hauteur d’enfant
Patrick DUBÉ Umvelt Service Design, Isabelle KOSTECKI UMVELT Service Design, Joëlle SARRAILH UMVELT Service Design

Le Living Lab SAT/CHU Sainte-Justine est le fruit d’une collaboration novatrice entre la Société des Arts Technologiques de Montréal et sept départements du CHU Ste-Justine. Les activités du lab visent l’humanisation des soins en milieu hospitalier à travers le co-design de nouveaux dispositifs dérivés des arts numériques et dirigés vers des fins thérapeutiques, en jumelant les compétences des chercheurs-programmeurs de la SAT, les équipes de recherches affiliés au CHU Ste-Justine et la créativité des usagers (patients, familles et personnel traitant du CHU Sainte-Justine).

Les dispositifs développés au Living Lab visent notamment 1) la diminution de l’anxiété chez l’enfant par la création d’expériences interactives dans les chambres à l’aide de technologies de projection 2) l’expression des émotions par la création d’œuvres artistiques collaboratives par les enfants à l’aide de technologies numériques portables et adaptées 3) le développement de l’autonomie par l’entremise d’un gymnase immersif permettant aux enfants de co-créer et d’explorer de nouveaux types de jeux malgré leurs limitations fonctionnelles et 4) le développement de nouveaux protocoles thérapeutiques visant la réduction du temps d’hospitalisation et l’augmentation de l’efficacité de certaines thérapies ciblées.

et

Les communautés de pratique et le laboratoire vivant MALL : la recherche en action et en collaboration
Tiiu VAIKLA-POLDMA Université de Montréal

Le laboratoire vivant MALL ( Mall as a Living Lab) a été créé avec la perspective de regrouper plusieurs acteurs ayant des intérêts divers, mais ayant en commun la volonté d’améliorer l’accès et la qualité des milieux de vie des personnes ayant des déficiences physiques ou cognitives. Pour regrouper l’ensemble des personnes et des chercheurs impliqués, une première communauté de pratique (CdP) a été initiée. Elle réunit des acteurs clés: cliniciens et chercheurs en réadaptation, personnes ayant des déficiences, utilisateurs, non-utilisateurs, employés, commerçants et propriétaires de centres-commerciaux, etc. Cette CdP vise à identifier les indicateurs de «réussite» du projet. Les discussions entre les membres de la CdP mettront l’accent sur les mesures de la performance (qualitative et quantitative). Les consensus issus de ces discussions seront reliés au modèle logique grâce à la collaboration du Groupe de travail sur les statistiques et l’évaluation.
Après l’identification du succès des indicateurs, la CdP aura pour prochain but de veiller à la planification et à la réalisation des objectifs au cours des trois prochaines années. Des CdPs additionnelles seront créées au fur et à mesure que les besoins émergeront, et ce pendant toute la durée du projet. Seront alors présentés: le concept de CdP, le développement des diverses CdP dans le cadre du Laboratoire vivant, et les retombées anticipées de ces CdPs.


2 – Colloque 38 – Quand le projet nous tient à coeur : la contribution du design au développement des connaissances

Responsable(s)
Carole DESPRÉS Université Laval, Geneviève VACHON Université Laval

Description
Ce café des arts et des sciences propose de revisiter la perception courante du design comme activité de pure création artistique et d’en rebâtir une plus juste en tant qu’activité de production de connaissances faisant appel à des savoirs scientifiques, techniques, éthiques et esthétiques. Il vise aussi à illustrer la fertilité de croiser recherche en design et recherche scientifique à travers des processus participatifs pour examiner des problèmes sociaux complexes et identifier des avenues plausibles de solutions. Les objectifs de la journée sont ainsi : 1. de sensibiliser les chercheurs à la légitimité de la recherche en design comme mode de production des connaissances ; 2. de montrer la fertilité de croiser la recherche en design avec la recherche scientifique dans des programmes transdisciplinaires de recherche et d’action autour de défis sociaux complexes liés à l’aménagement du territoire ; 3. d’illustrer la plus value de professionnels formés en design au sein des milieux institutionnels de recherche et vice versa, de professionnels formés en recherche au sein de la pratique privée en architecture et en urbanisme, et 4. de montrer avec des exemples concrets comment le processus de design participatif, dans sa capacité à intégrer les évidences scientifiques et la participation, contribue à réduire l’écart entre chercheurs, praticiens et citoyens. Quatre sessions thématiques s’enchainant les unes aux autres sont prévues pour rencontrer ces objectifs, à partir de courtes interventions d’invités provenant des milieux de l’enseignement de l’architecture, de l’urbanisme, de la sociologie, mais aussi de milieux institutionnels de recherche et de la pratique privée en architecture et en design urbain, ainsi que de généreuses périodes d’échanges avec l’audience. Il s’agit également d’une journée célébrant le 20e anniversaire du programme de maîtrise en design urbain de l’École d’Architecture de l’Université Laval et, plus spécifiquement, le croisement de l’enseignement du design urbain avec la consolidation de la recherche fondamentale et participative. Y sont conviés notamment tous les diplômés de ce programme ainsi que les étudiants ayant complété des mémoires ou des thèses en études urbaines. Pour clore l’évènement, deux grandes conférences publiques : celle de Ian Bentley, professeur émérite à la Oxford Brookes University dont l’ouvrage Responsive Environments (Taylor and Francis, 1985) nourrit l’enseignement du design urbain à l’Université Laval depuis 20 ans et celle d’Alberto Magnaghi, professeur émérite à l’Université de Florence dont l’ouvrage Le projet local (Mardaga, 2003) stimule les réflexions plus récentes des professeurs impliqués dans l’enseignement de cette discipline, mais aussi les chercheurs du Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa).

Voici trois présentations d’intérêts :

Le design comme mode de production de connaissances
Carole DESPRÉS Université Laval

Sans prétendre à une position épistémologique, cette intervention vise à illustrer la fertilité du design comme mode de production de connaissances, lorsque combiné avec la recherche empirique et la participation. Au-delà des modes de raisonnement déductif et inductif qui sont plus près de la recherche quantitative et qualitative, le design fait appel à la pensée abductive, soit cette capacité d’imaginer des scénarios plausibles pour résoudre des problèmes multidimensionnels et incertains. Un projet de design est le résultat de l’interaction d’un groupe de personnes ayant apporté leurs idées créatives. Une des compétences spécifiques du designer est de faire appel au dessin pour développer des idées et dialoguer avec les autres, facilitant ainsi l’externalisation ouverte des idées et leur mise à jour continue. Ce type de travail en mode collaboratif requiert de la part du designer la capacité d’écouter ce que les autres ont à dire et de répondre de façon constructive à des situations conflictuelles. Les architectes, les urbanistes et les chercheurs détiennent ainsi des compétences complémentaires uniques pour mettre en oeuvre des programmes transdisciplinaires visant à résoudre des problèmes urbains complexes et prioritaires.

De l’apport du design collaboratif aux sciences sociales
Andrée FORTIN Université Laval

Au Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa), notre objectif est de combiner la recherche fondamentale, la recherche en création et la recherche-action. Les liens entre la recherche fondamentale et la recherche-action et ceux entre le design et cette recherche-action ont souvent été discutés. Je parlerai ici des liens entre la recherche en sciences sociales et le design collaboratif, tel qu’il se pratique au GIRBa. S’il est clair que les analyses sociologiques ou démographiques, par exemple, peuvent aider les designers à comprendre les besoins d’une clientèle particulière ou des enjeux sociaux globaux, réciproquement, le design peut aussi nourrir les travaux de chercheurs en sciences sociales. Centrer le regard sur un lieu, sur un projet, dans un processus de design, amène un changement d’échelle dans l’analyse qui ne se réduit pas à un zoom. Non seulement l’analyse se raffine dans le processus de design collaboratif, mais les discussions autour de ces projets précis génèrent des connaissances nouvelles sur un territoire, dont les sciences sociales peuvent se saisir. Les questions que le design collaboratif lance aux sciences sociales ne concernent pas que le territoire mais les processus. Pourquoi certains thèmes et enjeux font-ils consensus et d’autres suscitent-ils la controverse ?

Le design participatif communautaire : une réflexion sur l’apport des programmes particuliers d’urbanisme à Montréal
Nik LUKA Université McGill

En Amérique du nord comme ailleurs, des processus de design participatif communautaire (community-based design) sont mis de l’avant pour donner voix à des publics hétérogènes en matière d’aménagement. Une question importante survient lorsqu’il s’agit de travailler à l’échelle des quartiers, de la ville et des territoires : comment mettre en oeuvre une approche de design participatif pour produire un plan d’aménagement, avec les défis que pose l’intégration d’une grande diversité de parties prenantes? Cette présentation illustre quelques outils en mesure d’aider les municipalités et autres paliers de gouvernement à expérimenter avec des approches novatrices au design participatif communautaire, dont les programmes particuliers d’urbanisme (PPU) au Québec. La présentation illustre la portée et les limites d’une telle approche, en référence à des projets en cours à Montréal dont les PPU du secteur Bellechasse et du Quartier des spectacles, ainsi que la démarche Quartiers verts, actifs et en santé.

 

3 – Colloque 647 – 6e colloque sur la participation des citoyens : penser les processus de participation

Responsable(s)
Chantale MAILHOT HEC Montréal, Stéphanie YATES UQAM – Université du Québec à Montréal

Description
Ce 6e colloque organisé en partenariat avec l’Institut du Nouveau monde (INM) propose d’explorer les processus et les dispositifs de participation des citoyens. Au cours des derniers mois, le Québec a été traversé par diverses expériences citoyennes qui témoignent bien de la volonté des citoyens de participer aux décisions qui les touchent. Il existe aussi un éventail de démarches participatives qui incluent les citoyens dans l’énonciation des problèmes et l’élaboration de solutions aux enjeux collectifs. Enfin, une diversité d’initiatives, à vocation économique et/ou sociale, inclut les citoyens dans leur projet. Les communications qui seront proposées dans ce colloque poseront un regard à la fois empirique, théorique, normatif et critique portant sur l’un ou l’autre des axes de réflexion proposés.

Ce 6e colloque s’inscrit dans la continuité des colloques précédents portant sur la participation des citoyens. D’une certaine manière, la perspective orientée vers les processus s’inscrit dans le cycle d’un triptyque portant sur les aspects populationnels au fil des générations (2011), les fondements philosophiques avec les grammaires de l’engagement (2012) et enfin, pour 2013, les pratiques quant aux processus de participation.

Enfin sur le plan de la pertinence sociale, l’INM est actuellement dans une vaste démarche de réflexion sur la démocratie et la participation citoyenne. Les communications et discussions tenues lors de ce colloque seront mises en lien avec cette réflexion afin de dégager une série de bonnes pratiques permettant de se pencher sur les processus en eux-mêmes.
Ce colloque porte sur les processus de participation des citoyens, qui seront examinés à l’occasion de huit ateliers.

Des Laboratoires vivants pour des territoires innovants : une expérience de participation citoyenne
Danielle LAFONTAINE UQAR – Université du Québec à Rimouski, François DEMERS Université Laval, Mélanie LAGACÉ Niska, Gisèle BERTRAND Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations, Martin BOIRE Forum jeunesse Longueuil, Vincent TANGUAY Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations

Initiée par le CEFRIO et intitulée Des laboratoires vivants pour des territoires innovants, la démarche de recherche-expérimentation dont nous traiterons a visé l’appropriation d’une méthodologie expérimentée en Europe et ailleurs, celle du Laboratoire vivant (Living Lab) dans le but d’estimer son intérêt pour la mise en œuvre de « réponses » innovantes face à divers problèmes vécus aux seins des communautés locales ou régionales. L’appropriation et l’adaptation de cette méthodologie a impliqué son expérimentation à travers la création de deux Laboratoires vivants en Gaspésie et dans l’Agglomération de Longueuil. Comme nous l’indiquerons, la question de la participation occupe une place triplement centrale dans 1) cette démarche 2) par rapport à la méthodologie 3) et au sein des deux Laboratoires où la méthodologie a pu être expérimentée (2011-2013) avec le support de la Conférence Régionale des Élus (CRÉ) dans les deux cas. Quelques résultats des expérimentations seront soulignés, ces deux laboratoires permettent d’enrichir nos réflexions collectives sur comment engager les citoyens dans les prises de décisions concernant des choix publics qui les concernent.

Deux autres conférences d’intérêts

Guide de bonnes pratiques au profit des agents de développement économique dans un contexte d’innovation co-créative

Marina FRANGIONI Université de Sherbrooke

Depuis plusieurs années, notamment grâce aux travaux de Schumpeter (1911), de Porter (1991, 1993) et de Jacobs (1969), l’innovation est au cœur du développement économique. Dans les années 1980, notamment avec la Bayh Doyle Act, l’innovation était vue de façon linéaire. Pour les agents de développement économique, cela consistait à mettre en place des stratégies immobilières, où on favoriser le développement de parcs industriels voire, si on cherchait à valoriser la recherche académique, le développement de parcs scientifiques et technologiques. À partir des années 1990, l’innovation a été vue de manière plus systémique, où des écosystèmes innovants, basés soit sur la diversité ou la concentration sectorielle, permettaient de développer l’innovation et donc le développement économique par interactions entre les différents éléments des grappes comme on les a nommés au Québec. Depuis les années 2000, avec les travaux séminaux de Chesbrough (2004), on assiste au développement de l’innovation ouverte, et plus largement de l’innovation cocréative, si on se réfère aux Living Lab poussés par l’Union Européenne. Dès lors, quelles sont les nouvelles méthodes d’intervention dans ces nouveaux contextes pour les agents de développement économique? Ont-ils à leur disposition, un guide de bonnes pratiques adaptés à ces nouvelles formes d’innovation. La communication présentera mes travaux de recherches et les résultats obtenus dont un modèle d’intervention adapté à ces nouvelles réalités

Conférence présentée lors du colloque 402 – Économie, emploi et marchés.

et

Du BAEQ au Laboratoire vivant : la participation à revisiter et à renouveler
Danielle LAFONTAINE UQAR – Université du Québec à Rimouski

Initiée par le CEFRIO et intitulée Des laboratoires vivants pour des territoires innovants, la démarche de recherche-expérimentation dont nous traiterons a visé l’appropriation d’une méthodologie expérimentée en Europe et ailleurs, celle du Laboratoire vivant (Living Lab) dans le but d’estimer son intérêt pour la mise en œuvre de « réponses » innovantes face à divers problèmes vécus aux seins des communautés locales ou régionales. L’appropriation et l’adaptation de cette méthodologie a impliqué son expérimentation à travers l’initiation de deux Laboratoires en Gaspésie et dans l’Agglomération de Longueuil, ces deux territoires présentant des profils distincts. Comme nous l’indiquerons, la question de la participation occupe une place triplement centrale dans 1) cette démarche de recherche-expérimentation 2) par rapport à la méthodologie du Laboratoire vivant et 3) et au sein des deux Laboratoires où la méthodologie a pu être expérimentée (2011-2013). À la lumière de la démarche de recherche, de ses résultats et de recherches évaluatives, des comparaisons portant sur plusieurs dimensions seront effectuées entre le Laboratoire vivant et deux autres dispositifs de soutien au développement et à l’innovation déployés depuis 2001 (créneaux ACCORD et pactes et laboratoires ruraux). Les trois approches seront comparées avec certains aspects de la démarche du BAEQ engageant une conceptualisation de la participation qui, bien que limitée, peut être utilement revisitée et renouvelée.

Conférence présentée lors du colloque 403 – Gestion des organisations.

De plus, déjà, nous savons que la 82e édition de l’ACFAS sera à l’Université Concordia sous le thème La recherche : zones de convergence et de créativité. La tendance se dessine !

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